Ce test identifie votre « diagnostic psychiatrique » basé sur les personnages de Winnie-The-Pooh

par Mariane

« Winnie-the-Pooh » est connu pour enseigner des leçons de vie sur des choses comme l’amitié, la gentillesse et la gratitude. Comme avec de nombreux livres et films pour enfants, cependant, lorsque vous les lisez, vous pouvez souvent constater qu’ils vont un peu plus loin que ce qu’ils semblent être à la surface.

Par exemple, il existe une théorie selon laquelle chaque personnage « Winnie-the-Pooh » est en corrélation avec un trouble mental spécifique.

Le Dr Sarah E. Shea, le Dr Kevin Gordon et leurs associés ont analysé les personnages de « Winnie l’ourson » et ont publié leurs découvertes dans une étude intitulée « Pathologie dans le bois de Hundred Acre : une perspective neurodéveloppementale sur AA Milne ».

« En surface, c’est un monde innocent, mais en examinant de plus près notre groupe d’experts, nous découvrons une forêt où les problèmes neurodéveloppementaux et psychosociaux ne sont ni reconnus ni traités », expliquent-ils dans l’étude.

Ils ont constaté que chacun des personnages répondait aux critères des problèmes de santé mentale « significatifs » énumérés dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, plus communément appelé DSM.

Sur la base de leur découverte, le test de pathologie de l’ourson a été créé comme un moyen amusant de déterminer quel personnage de Winnie l’ourson et les diagnostics associés vous ressemblent le plus, ainsi qu’à vos propres comportements.

Comment passer le test de pathologie de l’ourson

IDRLabs a créé un test de 33 questions basé sur les travaux des Drs. Shea et Gordon. Le test de pathologie Pooh vous demande de vous évaluer sur des comportements spécifiques qui sont plus faciles à identifier en vous-même qu’il ne le serait d’identifier les traits exacts auxquels chacun correspond.

Vos résultats vous sont ensuite présentés dans un graphique simple qui montre comment vous avez été évalué sur chaque trait, avec un pourcentage noté pour votre ressemblance avec chaque personnage « Winnie-the-Pooh » et les troubles de santé mentale qu’ils illustrent.

Bien que les quiz de personnalité en ligne gratuits soient amusants à faire, il est important de noter qu’ils ne constituent en aucun cas un diagnostic réel d’une maladie mentale et sont plutôt destinés uniquement à des fins de divertissement.

IDRLabs explique que si le test de personnalité « Winnie-the-Pooh » est censé être « aussi fiable, valide, précis et complet que possible », précisant en outre qu’il « ne doit pas être interprété comme fournissant des conseils professionnels ou certifiés de quelque nature que ce soit ». .”

Une fois que vous avez identifié le personnage qui vous ressemble le plus, vous pouvez examiner les caractéristiques et les traits qu’il incarne pour voir s’ils vous semblent familiers.

Voici chaque personnage de « Winnie-the-Pooh » et leur état mental supposé.

1. Winnie-the-Pooh : trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention (TDAH), type inattentif

Selon les chercheurs, Pooh démontre en fait une comorbidité, ou la présence et l’interaction de deux troubles ou plus. Ils ont découvert qu’en plus du TDAH, Pooh traite probablement aussi des troubles cognitifs et des troubles obsessionnels compulsifs (TOC).

Le TDAH inattentif se caractérise par une difficulté à prêter attention aux détails, à la distraction et à la difficulté à organiser, hiérarchiser et terminer les tâches, tous des traits que Pooh présente.

Les chercheurs soulignent également l’obsession de Pooh pour le miel et son comptage répétitif comme exemple de son TOC.

Enfin, Pooh est souvent décrit comme ayant un « très petit cerveau » tout au long des histoires, suggérant une déficience cognitive.

2. Porcinet : trouble d’anxiété généralisée

Porcinet est constamment agité et nerveux, ce qui amène les chercheurs à croire qu’il souffre d’anxiété sévère. Ce diagnostic est basé sur la propension de Porcinet à sauter à n’importe quel son et explique sa nervosité autour de Tigrou.

3. Bourriquet : Dépression

La tristesse perpétuelle de Bourriquet est claire. Les chercheurs ont diagnostiqué chez l’âne une dysthymie chronique, une forme de dépression à long terme généralement caractérisée par une perte d’intérêt pour les activités normales, le désespoir, le manque de productivité et une faible estime de soi.

Les tendances dépressives de Bourriquet sont mises en évidence par ses citations d’autodérision et sa tendance à rechercher le mal dans tout.

4. Roo : Autisme

Le test de pathologie de l’ourson identifie les caractéristiques de Roo comme étant associées à l’autisme, soulignant son penchant à s’asseoir en silence dans la poche de sa mère surprotectrice ou, à l’autre bout du spectre, à se retrouver en danger en raison d’un manque d’attention à son environnement.

Cependant, les chercheurs n’ont pas nommé l’autisme comme un problème. Ils ont plutôt noté que ces comportements peuvent apparaître comme de la délinquance à l’adolescence, d’autant plus que Tigrou est l’une de ses plus grandes influences.

5. Tigrou : TDAH, type hyperactif-impulsif

Comme Pooh, Tigrou présente également des traits corrélés au TDAH. Cependant, Tigrou est un excellent exemple de TDAH, type hyperactif-impulsif, qui présente des symptômes différents de ceux du type inattentif.

Ces symptômes comprennent l’agitation, la conversation excessive et l’impulsivité dans la parole et les actions – des comportements qui décrivent à peu près toutes les interactions de Tigrou.

6. Lapin : TOC

Selon le Pooh Pathology Test, la personnalité de Rabbit est similaire à celle d’une personne atteinte de TOC, manifestée par son besoin de tout garder constamment dans un ordre extrêmement particulier.

Les chercheurs, cependant, ne désignent pas carrément le TOC comme le problème de Rabbit, se concentrant plutôt sur son sens de l’importance personnelle, son besoin d’être responsable et l’idée exagérée que tout le monde est son ami, indiquant peut-être aussi un certain niveau de trouble de la personnalité narcissique.

7. Christopher Robin : Schizophrénie

Bien que les chercheurs ne diagnostiquent pas Christopher Robin comme schizophrène dans leur article, ils suggèrent que des symptômes tels que passer tout son temps à parler à des animaux qui n’existent pas sont un problème en plein essor.

Micki Spollen est éditrice, écrivaine et voyageuse. Suivez-la sur Instagram et suivez ses voyages sur son site Web.

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